mercredi 29 août 2007

Bienvenue au XXIème siècle!

Les vierges du Swaziland ramassent des roseaux pour danser devant le roi

le roi du Swaziland, Mswati III, dans son palais de Mbabane, le 8 avril 2006

Fati Moalusi AFP/Archives ¦ le roi du Swaziland, Mswati III, dans son palais de Mbabane, le 8 avril 2006

Le roi du Swaziland, le dernier monarque absolu d'Afrique, a ordonné mercredi à 40.000 vierges du pays d'aller ramasser des roseaux qu'elles utiliseront ce week-end pour danser, seins nus, devant lui.

Les jeunes filles affluent depuis lundi dans la capitale spirituelle du pays Ludzidzini, à 15 km au sud de la capitale, pour cette cérémonie annuelle qui attire de plus en plus d'étrangers dans le petit royaume d'Afrique australe.

"Nous nous attendons à un très bon événement", a déclaré à l'AFP le coordinateur de la fête, Ntfonjeni Dlamini, en affirmant qu'une équipe de la chaîne de télévision Al-Jazira basée au Qatar et une autre venue de Taïwan étaient déjà arrivées pour couvrir la cérémonie.

L'an dernier, l'augmentation du nombre de touristes et leurs photos des jeunes filles dénudées avaient suscité des critiques dans le pays, certains craignant que l'événement n'attire surtout les voyeurs et les touristes sexuels.

La cérémonie des roseaux est l'un des plus importantes dans le petit royaume, très attaché à ses traditions. Elle est organisée pour rendre hommage à la reine mère.

A cette occasion, le roi Mswati III, qui a actuellement 13 femmes, peut se choisir une nouvelle épouse.

Sa fille aînée, la princesse Sikhanyiso, 17 ans, guidera cette année les autres vierges pendant la "danse des roseaux" et continuera de le faire jusqu'à ce qu'elle se marie.


© 2007 AFP

L'Horreur continue!


ENTERRES VIVANTS !

27/08/2007 09:27

(Belga) Des personnes atteintes du sida ont été enterrées vivantes en Papouasie Nouvelle-Guinée par leurs proches qui n'ont pas les moyens de les soigner et redoutent d'être infectés, a affirmé lundi une responsable humanitaire.

Margaret Marabe, qui a passé cinq mois dans la région reculée des Hauts plateaux de ce pays pauvre du Pacifique Sud dans le cadre d'une campagne de prévention sur le sida, a raconté avoir vu cinq malades enterrés vivants. L'un d'eux appelait au secours alors que des pelletées de terre l'ensevelissaient, a déclaré à des journalistes Mme Marabe, qui travaille pour une organisation bénévole, "Igat Hope" (J'ai de l'espoir). "L'un des malades était un de mes cousins. J'ai demandé pourquoi ils faisaient cela. Ils m'ont répondu: +si nous les laissons vivre avec nous dans la même maison, nous allons attraper la maladie et on va peut-être mourir à notre tour+", a-t-elle relaté. Des villageois lui ont également indiqué que cette pratique était répandue. Margaret Marabe a lancé un appel au gouvernement papou et aux organismes de prévention pour qu'ils veillent à ce que les programmes d'information sur le sida ne restent pas cantonnés aux villes mais atteignent aussi les régions rurales. Dans certaines localités, des habitants ont accusé des femmes de sorcellerie avant de les torturer et de les tuer à cause de la mort, inexplicable à leurs yeux, de jeunes gens contaminés par le VIH, selon des témoins. La Papouasie Nouvelle-Guinée, pays de 6 millions d'habitants, est confrontée à une propagation incontrôlée du virus. Selon un récent rapport de l'ONU, le nombre de personnes infectées a augmenté d'environ 30 pc par an depuis 1997, pour atteindre environ 60.000 malades en 2005. (CLA)



Source : LE VIF

mardi 28 août 2007

Mohandas Karamchand Gandhi (1869-1948)


"On peut juger de la grandeur d'une nation par la façon dont les animaux y sont traités."

"La désobéissance civile est le droit imprescriptible de tout citoyen. Il ne saurait y renoncer sans être un homme."

"La force réside dans l'absence de crainte, et non dans la quantité de chair ou de muscle que nous avons dans notre corps."


Quelques unes des magnifiques citations recueillies par Raffa.


Le Centième singe ou comment va se jouer l'avenir de l'humanité


Le centième singe ou comment va se jouer l’avenir de l’Humanité.


par Aigle Royal

Ken Keyes Jr est l’auteur de « The Hundredth Monkey », « Le centième singe » , l’histoire vraie d’une fable extraordinaire qui aujourd’hui résonne avec notre destin en tant qu’Humanité.



Une espèce de singe japonais, le macaque japonais ( macaca fuscata ), a été observée à l’état sauvage sur une période de 30 ans.

En 1952, sur l’ile de Koshima, des scientifiques nourrissaient les singes avec des patates douces crues en les jetant sur le sable. Les singes aimaient le goût des patates douces, mais trouvaient leur saleté déplaisante.

Une femelle âgée de 18 mois, appelée Imo, pensait qu’elle pouvait solutionner le problème en lavant les patates dans un ruisseau tout près. Elle enseigna ce truc à sa mère. Leurs compagnes de jeu apprirent aussi cette nouvelle façon de faire et l’enseignèrent aussi à leurs mères.

Cette innovation culturelle fut graduellement adoptée par différents singes devant les yeux des scientifiques. Entre 1952 et 1958, tous les jeunes singes apprirent à laver les patates douces remplies de sable pour les rendre plus agréables au goût. Seuls les singes adultes qui imitèrent leurs enfants apprirent cette amélioration sociale. Les autres singes adultes conservèrent leur habitude de manger des patates douces sales.

À l’automne de 1958, un certain nombre de singes de Koshima lavaient leurs patates douces - leur nombre exact demeure inconnu. Supposons que lorsque le soleil se leva un matin, il y avait 99 singes sur l’île de Koshima qui avaient appris à laver leurs patates douces. Supposons encore qu’un peu plus tard ce-matin là, un centième singe appris à laver les patates.
Alors quelque chose d’étonnant se produisit !

Ce soir-là presque tous les singes de la tribu se mirent à laver leurs patates douces avant de les manger. Un peu comme si l’énergie additionnelle de ce centième singe créa une sorte « de percée scientifique » !

Mais ce n’est pas tout : la chose la plus surprenante observée par ces scientifiques fut le fait que l’habitude de laver les patates douces se transmit de façon inexpliquée et simultanée à des colonies de singes habitant d’autres îles ainsi qu’à la troupe de singes de Takasakiyama sur le continent qui commencèrent aussi à laver leurs patates douces. C’est ainsi que le macaque japonais fut surnommé le « laveur de patates ».

Conscience et masse critique

Cette histoire est remarquable car elle souligne deux points capitaux qu’il nous serait utile de retenir pour notre avenir à court et moyen terme.

Tout d’abord, pour qu’un tel changement soit possible, il ne suffit pas qu’un petit groupe adopte une attitude différente. Il ne s’agit pas ici de la domination exercée par une minorité utilisant la force et la coercition mais au contraire de l’accession d’un groupe a un niveau de conscience plus élevée. C’est ici la première clé.

Et voici la seconde. Bien que le nombre exact peut varier, ce « Phénomène du Centième Singe » signifie que lorsque seulement un nombre restreint de personnes apprend une nouvelle façon de faire, celle-ci peut devenir partie intégrante de la conscience de toute la communauté. En effet, à un moment donné, si seulement une personne de plus se met à adopter cette nouvelle prise de conscience, son champ d’action s’étend de telle sorte que cette prise de conscience est adoptée par presque tout le monde ! C’est le miracle des deux clés réunies.

Notre avenir

Il est naturel de penser que pour changer le monde, il faut qu’au moins la moitié de la population plus une personne y consente. Après tout, nous sommes en démocratie. Mais, et le centième singe est là pour nous le rappeler, les choses ne fonctionnent pas tout à fait ainsi. En vérité, il n’est pas nécessaire que la moitié des gens soit prête. Ce qui est important, c’est que la nécessité d’un changement fasse l’objet d’une prise de conscience d’un nombre suffisant de personnes.

Aujourd’hui, nous sommes engagés dans une course contre la montre. Certains d’entre nous sont prêts à tout au nom de Dieu, du profit, du pouvoir ou pour conserver leur mode de vie aussi inadapté que gaspilleur, même si cela conduit à la fin du monde. A l’opposé, d’autres cherchent avec sincérité des solutions valables aux problèmes humains, sociaux, économiques et politiques de notre planète. Ces derniers incarnent une conscience supérieure de ce qu’est la Vie. A mesure qu’un nombre de plus en plus grand d’entre nous intègrera cette conscience, nous nous rapprocherons de la masse critique. Voilà l’essentiel. C’est une condition que l’humanité peut maîtriser. Pour cela, nous devons nous rassembler et choisir d’évoluer consciemment, dans la cocréation, vers un nouveau monde. Lorsque cette masse critique sera atteinte, les choses changeront de façon soudaine et irréversible et l’Humanité dans son ensemble basculera dans un nouveau paradigme.

Nous avons largement les moyens, depuis quelques décennies, de mettre fin à toute vie humaine sur Terre. Or la coexistence d’une technologie avancée avec une conscience limitée est un mélange dangereux. Sans une prise de conscience planétaire, tôt ou tard la première croisera la deuxième et ce sera probablement le début de la fin.

Notre avenir est entre nos mains à tous, bien plus que nous ne le pensions. Dans un monde où les trois quarts des habitants sont encore confrontés à des problèmes de survie quotidienne et où presque le quart restant s’accroche à ses acquis et ses intérêts propres, il aurait été illusoire de penser rallier la majorité à une prise de conscience plus vaste en conquérant les âmes une à une. Mais avec « le phénomène du centième singe », cela n’est plus impossible.

Au niveau individuel, c’est la prise de conscience qui est la clé. Au niveau collectif, c’est notre nombre. Entre les deux, la masse critique est la solution. Le reste se fera naturellement. Mais nous n’avons pas tout notre temps. La Terre souffre, les humains souffrent et d’autres sont prêts à utiliser notre technologie mortelle pour asseoir définitivement leur domination.

Aigle Royal

lundi 27 août 2007

Bonne décision pour une mauvaise raison

By Matthew Hull


Par manque de demande, le gouvernement islandais a décidé de stopper la chasse (pêche??) à la baleine.

J'arrête de boycotter les produits islandais (Björk!)... :-)



dimanche 26 août 2007

Pourquoi cette URL ?

"PARTURIENT MONTES"

La montagne est en travail.

Horace recommande au poète de ne pas commencer par un début ambitieux et exagéré :"Ne commence pas comme ce poète d'autrefois : "Je vais chanter la fortune de Priam et la guerre de Troie!" Que ne donnera-t-il après cette pompeuse promesse? La montagne est en travail, elle enfantera un rat ridicule : "Parturient montes, nescetur ridiculus mus."


L'appel des enfants pour l'environnement


L'Appel des Enfants pour l'Environnement 2007-2008 est lancé !


Sa thématique : l'énergie.

L'énergie à l'origine du monde...
l'énergie si utile pour nous nourrir, nous habiller, nous loger, nous déplacer...
l'énergie si précieuse et si mal partagée...
l'énergie tellement gaspillée ce qui entraîne de graves conséquences en matière de pollution et de climat, préjudiciables, pour les animaux comme pour l'homme...
l'énergie enfin qu'il faut économiser, chacun d'entre nous peut le faire à son niveau, mais les villes ont aussi des actions à mener.

Et si, en cette année 2008 d'élections municipales, les enfants de France parlaient d'énergie à leurs Maires nouvellement élus ?


Source : WWF


Victimes de la mode...